Un texte avec une forte composante culturelle et sociologique, un livre d’ambiance, au réalisme brut mais non vulgaire (l’écriture est soignée, très différente de celle de V. Despentes, plus crue et plus trash) pour une virée en compagnie de personnages désabusés, très punk-rock. Avec la caution du vécu de l’auteur : c’est l’époque du Rose Bonbon, des bastons de rue, des squats et des concerts underground… « Le romantisme de la violence urbaine, on le vivait au quotidien »